Utiliser sa DxO ONE en plongée sous-marine : paramétrages et accessoires

Maintenant qu’un caisson « outdoor shell » est disponible pour la ONE, il est possible de l’emmener sous l’eau sans problème. Le caisson est fourni avec deux portes arrières, une porte tactile étanche jusqu’à -1m, l’autre porte non tactile mais par contre étanche jusqu’à -45m. J’ai pu tester les premiers prototypes de ce caisson en avance de phase et dernièrement j’ai pu aussi utiliser sa version finalisée. Je vous livre ici mes impressions séparées en deux articles distincts. On démarre donc avec mes conseils sur la paramétrisation de votre ONE ainsi que sur son utilisation avec d’éventuels accessoires.

La DxO ONE en plongée : quels paramétrages utiliser ?

L’un des soucis principaux qui peut se poser en plongée sous-marine est celui du flou de bougé. Pour éviter que l’appareil ne règle un temps d’exposition trop lent, je suggère donc de fixer une limite de 1/100s minimum en dessous de laquelle l’appareil ne descendra pas en mode automatique ou semi-automatique. Pour fixer cette limite, vous devez juste aller dans le menu de configuration de votre ONE (bouton situé en haut à droite) puis descendre jusqu’au menu « Paramètres Photo / Temps d’exposition max » pour fixer 1/100s voire 1/200s si vous souhaitez prendre une marge supplémentaire.

Au niveau de l’autofocus, je vous conseille de passer en mode AF-OD qui ne fera le point que lorsque vous déclencherez « à moitié ». L’idée lorsque vous souhaitez faire votre photo sera de :

  1. Viser et cadrer
  2. Appuyer sur le déclencheur à mi-course et attendre une demi-seconde que le point se fasse
  3. Appuyer “à fond” sur le déclencheur pour prendre votre photo

Pour le reste j’avoue apprécier le mode A (semi-automatique avec priorité à l’ouverture). Je fixe alors une ouverture comprise entre F/4 et F/5.6, et je reste en ISO auto, permettant ainsi à l’appareil de compenser l’exposition en fonction de la profondeur à laquelle je me trouve. Pour les plongeurs ne désirant pas trop s’embêter avec des réglages « trop complexes », je précise qu’il existe aussi le mode « Sport » qui pourra convenir très bien à une utilisation en plongée sous-marine. Dans tous les cas, il vous suffira de configurer le mode souhaité sur votre iPhone avant de détacher votre ONE pour l’insérer dans son caisson étanche. Ca y est ! Vous êtes prêt pour aller photographier votre Némo 🙂 !

Lorsque vous utiliserez votre DxO ONE en plongée, vous n’aurez pas accès à l’écran tactile au dos de l’appareil pour pouvoir changer de mode (entre dernier mode utilisé avec votre iPhone, mode photo « AUTO » ou mode Vidéo « AUTO »). Cependant, vous pourrez toujours sélectionner ces modes grâce à la manipulation expliquée dans le tutoriel suivant:

https://www.youtube.com/watch?v=cHH8XS-cslc

Trucs et astuces

  • Lorsque la ONE a été conçue, l’accent a été mis pour proposer un appareil photo offrant une qualité d’image sans concession dans très faible volume qui lui permet de tenir dans une poche. Ces deux contraintes ont influé sur la capacité de la batterie qui supporte 100 à 150 photos entre 2 charges. Pour que vous puissiez utiliser au mieux votre ONE pendant votre plongée, je vous suggère donc de la charger « à bloc » avant votre plongée :
    • Branchez votre ONE sur un chargeur USB mural de 2A
    • N’utilisez pas le port USB de votre PC ou de votre MAC pour recharger la ONE. En général l’ampérage en sortie d’un PC ou d’un MAC est bien plus faible (500mA ou 1A au mieux).
    • Ne débranchez pas votre ONE du chargeur, même si 100% est affiché. Il vaut mieux attendre une poignée de minutes supplémentaire : la ONE va alors s’éteindre d’elle-même, et ce n’est qu’à ce moment que vous serez assuré d’avoir une charge complète.
  • En fonction de la différence de température entre l’eau et l’air extérieur, de la buée pourrait apparaitre sur la vitre de votre ONE. Pour éviter cela, je conseille de glisser dans le caisson un petit sachet de silicate qui absorbera l’humidité. Vous trouvez ce type de sachet dans les accessoires vendus pour le caisson de la GoPro par exemple. Je précise qu’il est préférable d’utiliser un sachet de silicate plutôt qu’un liquide antibuée moins efficace.

Faire de la macro avec la DxO ONE en plongée sous-marine

La ONE va vous permettre de photographier sans problème un petit némo dans son anémone. La distance minimale de mise au point est de 20cm (c’est-à-dire que vous ne pourrez pas vous approcher à plus de 20cm de votre poisson préféré pour le prendre en photo sous peine d’avoir une photo flou par manque de focus).

Poissons clowns photographié avec la DxO ONE (éclairage au phare)

Si vous souhaitez photographier de très près un nudibranche ou un hippocampe pygmée par exemple, vous aurez alors besoin d’un petit accessoire supplémentaire : une bonnette macro qui va agir comme une loupe. Sur la vitre du caisson de la ONE se trouve un filetage de 30.5mm de diamètre, qui va vous permettre de visser tout type de bonnette de ce diamètre. Vous trouverez ce type de bonnettes directement sur le site de DxO :

http://fr.store.dxo.com/filtres-adaptateurs.html

Je précise qu’avec le caisson, vous n’aurez pas besoin de l’optical adapter de la ONE qui ne sert que si vous souhaitez utiliser un filtre directement sur l’appareil en photo extérieure. La marque de filtres recommandée par DxO est Heliopan pour l’excellente qualité de ses produits. Vous trouverez des bonnettes Heliopan de +2 et +4 dioptries (ce chiffre décrit le niveau de grossissement appliqué).

Pour ma part, j’ai testé aussi les produits suivants que je trouve très corrects pour l’utilisation que j’en ai :

Ces bonnettes ne coutent que $20 à peu près. Elles résistent à l’eau de mer et permettent un grossissement allant jusqu’à +10 pour l’opteka. Avec une telle bonnette vous pourrez vous approcher à quelques centimètres de votre nudibranche favori. Pour estimer la distance minimale de mise au point, je vous conseille de faire le test avec votre bonnette à l’air libre avant de l’utiliser en plongée. Une fois la plongée finie, je vous conseille de rincer votre bonnette à l’eau douce.

Voici un exemple de photo prise avec bonnette +10 . J’y ai incrusté un crop à 100% de résolution pour montrer la finesse de la photo.

Oursin crayon photographié avec DxO ONE et complément optique macro (éclairage au phare)

Eclairage à utiliser sous l’eau avec votre DxO ONE

En général, il est recommandé en photographie sous-marine d’utiliser un éclairage supplémentaire. Cet éclairage va apporter les teintes rouges qui ont été filtrées par la couche d’eau de mer. En ce qui concerne la ONE, l’éclairage additionnel n’est intéressant que pour les photos rapprochées (en macro par exemple). Vous pouvez utiliser votre lampe de plongée ou votre phare pour éclairer la scène à photographier. Il est recommandé d’utiliser préférentiellement un phare sans point chaud central pour avoir une meilleure exposition globale de l’image.

Pour les photos d’ambiance, les phares deviennent inadaptés, aussi la ONE propose une correction automatique de la balance des blancs qui va permettre de retrouver des teintes naturelles comme expliqué dans l’article suivant.

La DxO ONE en plongée de nuit

J’ai remarqué que de nuit ou quelquefois en conditions de très faible luminosité (comme par exemple lors de plongées sous glace) les modes scènes ou les modes semi-automatiques avaient une légère tendance à la surexposition lors de la prise de vue. Pour éviter de « cramer » vos photos lorsque vous allez plonger dans de telles conditions, je conseille donc de choisir une valeur de sous-exposition de -1 que vous pourrez appliquer au mode « A » par exemple, tel que je l’ai décrit au début de cet article.

Paramètres conseillés pour faire des photos sous-marines de nuit avec la DxO ONE

Paramètres conseillés pour faire des photos sous-marines de nuit avec la DxO ONE

Pour les plongeurs ne désirant pas trop s’embêter avec des réglages “trop complexes”, je précise qu’il existe aussi le mode “Nuit” qui pourra convenir très bien à une utilisation de la DxO ONE en plongée de nuit.

A propos de l’auteur : je suis ingénieur en informatique et j’ai travaillé pendant 3 ans  chez DxO sur le micrologiciel de la DxO ONE. Je pratiquais la photo bien avant d’être embauché chez DxO et je continue toujours à la pratiquer aujourd’hui. Je fais essentiellement de la photographie animalière et de nature, et plus spécifiquement de la photographie sous-marine. Mon passif sur le sujet s’étoffe avec le temps : j’ai « commis » quelques publications dans des magazines photos et j’ai été sélectionné (et parfois lauréat) dans plusieurs concours prestigieux comme celui du festival de Montier en Der ou celui de Namur ou encore le « European Wildlife Photographer of the Year » – GDT.

Traiter les RAW de la DxO ONE directement sur son iPhone

La dernière mise à jour gratuite de l’Application pilotant la DxO ONE permet désormais de transférer directement sur votre iPhone (ou iPad) les images RAW prises par la ONE. Vous pourrez ainsi les traiter avec des applications dédiées telles que, par exemple, Snapseed ou Lightroom, sans avoir besoin de passer par votre PC ou votre MAC. Cela facilite et accélère grandement votre chaine de traitement des photos et vous permet d’obtenir très rapidement un résultat exploitant au mieux les capacités offertes par votre ONE.

Etape N°1 : Mettre à jour sa ONE

Voici un tutoriel qui vous explique comment mettre à jour sa ONE avec la dernière version disponible du micrologiciel (« firmware » pour les intimes). Cette mise à jour est gratuite et très facile à mettre en œuvre. Vous devez tout d’abord télécharger sur l’App-Store la dernière version de l’application DxO, puis ensuite vous laisser guider comme expliqué dans ce tutoriel :
http://www.dxo.com/fr/photographie/dxo-academy/tutoriels/pr%C3%A9sentation-des-nouvelles-fonctionnalit%C3%A9s-de-votre-dxo-one

Etape N°2 : RAW la la !

Dans ce même tutoriel, vous verrez comment récupérer sur votre iPhone le RAW de votre ONE. Mais maintenant que vous avez récupéré le RAW sur votre iPhone, à quoi cela va-t-il vous servir ? Et d’abord, c’est quoi le RAW ? Et bien pour résumer, je dirai que le RAW contient les données brutes de votre photo directement extraites du capteur de l’appareil. Des traitements automatiques vont alors être appliqué par votre appareil photo sur le RAW « brut » pour obtenir un JPEG « raffiné ». Dans une grande partie des situations, ces traitements sont bien suffisants et le JPEG résultant est fidèle à la scène qu’on voulait photographier. Mais dans certaines situations, il est aussi intéressant de pouvoir peaufiner nous-même quelques paramètres afin de façonner sa propre photo pour obtenir un JPEG ayant un encore meilleur rendu. C’est là qu’intervient l’usage du fichier RAW (on parle alors de « dérawtisation » de l’image).

Etape N°3 : C’est parti pour la derawtisation

A mon sens, la dérawtisation sert principalement à corriger l’exposition et la balance des blancs de l’image. Comme je reviendrai dans un prochain article sur la correction de la balance des blancs, je propose ici un exemple de correction d’exposition d’un fichier RAW effectué sur iPhone avec Lightroom qui est une application disponible gratuitement sur l’App-Store.

Photo d’origine

On voit sur cette photo que la foule est très sombre alors que les lampes au fond de l’image sont surexposées. Je vais importer le RAW sur mon iPhone et lancer Lightroom. Lorsque j’ouvre l’application, je n’ai qu’à lui dire de regarder dans la pellicule de l’iPhone et d’ouvrir l’image affichant le petit sigle « DNG ».

Plusieurs options sont alors accessibles, on va s’intéresser à celle permettant de régler la «Lumière ».

Je vais alors pouvoir régler plus précisément l’exposition, en choisissant de :

  • baisser les hautes lumières pour éviter de bruler les zones d’intensités vives autour des ampoules
  • augmenter les ombres pour faire ressortir les détails de la foule

Comparaison entre l’image d’origine et l’image dérawtisée sous Lightroom exécuté sur son iPhone

Au final, on obtient une photo plus douce avec des détails aux niveau des ombres qui ressortent plus clairement.

Il faut néanmoins savoir que si le traitement du RAW via Lightroom sur son iPhone permet d’obtenir très rapidement une photo somme toute fort sympathique, on reste quand même en deçà de ce que peut donner un traitement plus poussé sur des machines plus conséquentes. Le fait d’avoir fait ressortir les zones d’ombre de l’image a aussi accentué le bruit de l’image qui apparaît comme un moutonnement (la photo est prise à 2500 ISO quand même). La dérawtisation sur PC/MAC via la «vraie» application Lightroom ou un autre dérawtiseur du marché comme DxO Optics Pro par exemple, va permettre de corriger plus efficacement ce moutonnement (entre autres choses). Tout est une question de curseur à partir duquel on considère qu’une photo est de qualité suffisante pour être diffusée et montrée. Le traitement du RAW offert par Lightroom ou Snapseed sur iPhone permet d’obtenir un excellent rapport entre la qualité d’image obtenue et la rapidité ainsi que la simplicité du traitement effectué. Pour des développements de RAW encore plus propres, il faudra se tourner vers des solutions plus lourdes et chronophages.

A propos de l’auteur : je suis ingénieur en informatique et j’ai travaillé pendant 3 ans  chez DxO sur le micrologiciel de la DxO ONE. Je pratiquais la photo bien avant d’être embauché chez DxO et je continue toujours à la pratiquer aujourd’hui. Je fais essentiellement de la photographie animalière et de nature, et plus spécifiquement de la photographie sous-marine. Mon passif sur le sujet s’étoffe avec le temps : j’ai «commis» quelques publications dans des magazines photos et j’ai été sélectionné (et parfois lauréat) dans plusieurs concours prestigieux comme celui du festival de Montier en Der ou celui de Namur ou encore le «European Wildlife Photographer of the Year» – GDT.

La DxO ONE c’est quoi ?

La ONE : un « vrai » appareil photo miniaturisé

La ONE c’est d’abord un appareil photo, mais ce qui la différencie des autres modèles de la concurrence, c’est qu’elle est vraiment petite (elle tient dans la poche d’un jeans) et qu’elle est connectée. En fait, elle n’est comparable à aucun autre appareil photo : bien sûr il existe des appareils aussi petits plutôt orientés « action cam / sports extrêmes » mais la qualité des photos produites par ces appareils est bien moins bonne que celle des photos produites par la ONE (grâce à son optique d’une part qui est très lumineuse et à son large capteur 1 pouce d’autre part, beaucoup plus efficace dans toutes les conditions de lumière). En général, on trouve le type de capteur qui équipe la ONE sur des appareils compacts haut de gamme comme le Canon G7x ou le Sony RX100. Mais ce type d’appareil ne peut pas se glisser dans votre poche aussi facilement que ne le fait une ONE…
Si je résume, on se retrouve donc avec un appareil photo dont la qualité des images produites est (au moins) similaire à celle de compacts haut de gamme mais dont le volume est suffisamment réduit pour pouvoir transporter votre appareil avec vous tout le temps. Et c’est là que, de mon point de vue, la ONE trouve tout son intérêt. Avant, comme il fallait faire un effort pour emmener son appareil photo avec soi, et bien dans la vie de tous les jours on ne l’emmenait pas… Et lorsqu’on devait prendre une photo, on se rabattait sur son smartphone… Mais avec un résultat au final souvent décevant (qualité d’image tout juste passable sans possibilité de zoomer dans l’image pour y trouver du détail, image floue en condition de basse lumière etc.). Avec la ONE, on peut dorénavant avoir un « vrai » appareil photo tout le temps sur soi et accessible sans aucun effort. Du coup prendre des photos de bonne qualité devient possible à chaque instant !

J’ai utilisé mon petit trépied pour prendre cette photo.
Photo prise en SuperRAW avec un DxO ONE et développée avec Optics Pro.

La ONE a changé ma façon d’appréhender la photographie

Et oui, je pense vraiment que la ONE a changé mon point de vue sur la photo. Si avant je n’envisageais de prendre des photos que pendant des moments très précis (lorsque je partais en voyage principalement), maintenant je me surprends, dans la vie de tous les jours, à souvent essayer de trouver des scènes de vie intéressantes à photographier. Je ne dis pas que ça marche à tous les coups (n’est pas Cartier Bresson qui veut 😉 ), mais il est vrai que je m’amuse maintenant à regarder çà et là lorsque je me balade en ville. Ce côté ludique m’était totalement inconnu jusqu’alors, et cela me permet aussi, je pense, d’affiner mon regard photographique par une pratique plus soutenue. Cette notion de jeu est renforcée par les nouvelles possibilités de cadrage qu’offrent la petitesse de la ONE : on peut par exemple la glisser dans des endroits biscornus tout en maitrisant totalement son cadrage et ses paramètres de prise de vue grâce au pilotage par WiFi (mais j’y reviendrai plus en détails dans un prochain article). On peut aussi prendre des photos de manière très discrète, ce qui permet de garder l’aspect « naturel » d’une scène de rue par exemple. Cette facilité à pouvoir prendre de belles photos en permanence est, pour moi, un des points majeurs que nous apporte la ONE : elle peut changer notre façon de faire des photos ! Ce n’est pas rien, car en général, les appareils ne restent au final que des outils permettant juste au photographe de faire ses images, alors qu’en ce qui me concerne, je constate que la ONE m’a ouvert tout un pan de la photographie qui m’était étranger.

La taille réduite de la DxO ONE permet de la glisser partout, même entre les tiges des fleurs d’un jardin miniature. La nouvelle fonctionnalité permettant de controller par WiFi le cadrage permet d’orienter la ONE comme bon vous semble.

Partie de badminton place Massena à Nice

Un appareil photo connecté

La ONE est un appareil photo miniaturisé mais aussi connecté. Elle peut en effet se brancher au port lightning de votre smartphone Apple. Elle est donc compatible avec tous les modèles de la marque à la pomme possédant ce port (à partir de l’iPhone 5 donc, iPad compris). Une fois branchée sur l’iPhone ou l’iPad, une application dédiée fournie par DxO permet de la piloter et de partager instantanément les photos prises par la ONE sur les réseaux sociaux. Cette application gratuite proposée par DxO est amenée à être mise à jour environ 2 à 3 fois par an, et elle inclue aussi une mise à jour du logiciel embarqué de la ONE. Les mises à jour ne sont pas anodines car elles ont déjà introduit nombre d’évolutions majeures. En installant ces différentes mises à jour, les possesseurs de ONE ont vu ainsi de nouvelles fonctionnalités devenir ainsi disponibles sur leur appareil photo connecté :

  • Début 2016 fut introduit l’aide à la visée sur l’écran arrière de la ONE permettant de visualiser le cadrage des photos qu’on peut prendre lorsque la ONE est utilisée en mode autonome
  • Mi-2016 fut introduit la fonctionnalité permettant de pilote la ONE à distance par WiFi
  • Début 2017 devrait voir venir la possibilité d’utiliser la ONE pour Facebook Live.

Comme vous le voyez, beaucoup de fonctionnalités importantes ont déjà été ajoutées et celles qui sont en préparation vont être aussi incroyables (teasing 😉 )

La ONE : l’essayer c’est l’adopter

Comme la ONE n’a pas d’équivalent dans le monde de la photo, il est difficile de se faire une idée sur cet appareil si on ne l’a pas manipulé au préalable. C’est pourquoi je vous conseille de passer l’essayer dans les Fnac où elle est vente par exemple, pour tester « la bête ». DxO organise en ce moment des démonstrations dans toutes les Fnac sur Paris, sur Vélizy ainsi qu’à la Défense, alors n’hésitez pas à venir nous voir pour en discuter avec nos démonstrateurs 🙂

Galeries en Haute Définition

Galerie de photos prises de jour avec une DxO ONE

Galerie de photos prises de jour avec une DxO ONE

Galerie de photos prises de nuit avec une DxO ONE

Galerie de photos prises de nuit avec une DxO ONE

A propos de l’auteur : je suis ingénieur en informatique et j’ai travaillé pendant 3 ans  chez DxO sur le micrologiciel de la DxO ONE. Je pratiquais la photo bien avant d’être embauché chez DxO et je continue toujours à la pratiquer aujourd’hui. Je fais essentiellement de la photographie animalière et de nature, et plus spécifiquement de la photographie sous-marine. Mon passif sur le sujet s’étoffe avec le temps : j’ai « commis » quelques publications dans des magazines photos et j’ai été sélectionné (et parfois lauréat) dans plusieurs concours prestigieux comme celui du festival de Montier en Der ou celui de Namur ou encore le « European Wildlife Photographer of the Year » – GDT.